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Les chiens enragés de l’impérialisme français sont déchaînés contre le Mali : depuis qu’ils ont perdu leurs bases militaires dans les trois pays de l’AES, les dirigeants français — notamment le lobby militaire aux tendances racistes et crypto-fascistes — s’acharnent contre les dirigeants maliens qui ont ouvert la voie à la restauration de la souveraineté nationale et au respect des choix stratégiques du Mali…
À intervalles réguliers, Wasim Nasr est dépêché sur France 24, la « Voix de la France », pour diffuser des reportages de dénigrement contre les responsables maliens et l’AES.
Sa dernière trouvaille fut une interview de Hamadoun Kouffa, un terroriste notoire que la France a tenté sans succès d’éliminer à plusieurs reprises lors de l’Opération Barkhane, qui opérait en toute liberté au Mali et dans le Sahel.
Hamadoun Kouffa est allié à Iyad Ag Ghali, lui-même protégé par la DRS algérienne.
La France de Macron est ainsi faite : aujourd’hui, quelqu’un est son ami, demain, il devient son ennemi.
À l’image d’une peau de chagrin, l’influence française se réduit progressivement.
Il ne reste que quelques bastions (comme le Togo, où opèrent les agents de la DGSE, ainsi que la Côte d’Ivoire, le Gabon, le Tchad, et le Sénégal, où des aspirations d’émancipation se manifestent…).
Wasim Nasr peut continuer à aboyer, mais lui et ses commanditaires ne pourront jamais stopper la marche inexorable des peuples du Sahel et d’Afrique vers le recouvrement de leur dignité et de leur souveraineté.
Ousmane Mohamed Touré
Source : Le Poing
