Opérateur économique émérite, humanitaire, président de la Fondation Maliba, homme politique, président d’honneur du parti Alliance pour la paix et la démocratie (ADP/Maliba), Aliou Boubacar Diallo est résolument engagé pour la paix. Que cela soit à l’occasion du nouvel an, de la fête de l’armée, de la Journée internationale de la femme ou encore de la fête de l’indépendance, il ne manque pas d’événement pour prêcher la paix et faire des propositions concrètes via ses réseaux sociaux.
Déjà en 2021, à l’occasion de la fête de l’indépendance, le 22 septembre, le président d’honneur du parti ADP/Maliba proposait au gouvernement de Transition de procéder à la sélection dune personnalité consensuelle à Bamako qui sera accompagnée par des délégués ayant une légitimité traditionnelle et qui seront choisis dans chaque cercle du Mali afin qu’ils engagent sans tarder un dialogue franc et sincère avec les Maliens qui ont pris les armes.
Ces pourparlers, ajoutait-il, devront permettre à toutes les parties d’exposer leurs problèmes, leurs griefs et de trouver une solution durable à la crise multiforme que traverse le Mali. Par la même occasion, il soulignait la nécessité de lutter contre la pauvreté et le chômage de masse de nos jeunes pour bien combattre le terrorisme.
« Oui, nous sommes un peuple fier et debout avec une riche histoire et une grande culture. Pour résoudre cette crise, il nous faut nous rassembler de la manière la plus inclusive possible. Nous devons surmonter nos antagonismes, mettre de côté nos querelles politiciennes, sortir de nos postures personnelles et mettre en avant que le Mali et l’intérêt supérieur de la nation.
Pour ma part, je n’ai cessé de proposer des solutions et je ne m’en lasserais jamais. Il s’agissait, entre autres, de la mise en valeur de nos légitimités traditionnelles avec l’ouverture d’un grand forum de dialogue où tous les fils du pays qui ont pris les armes viendront parler de leurs griefs », avait-il déclaré dans son message du nouvel an en 2022.
Trois mois plus tard, le 26 mars 2022, Aliou Diallo est passé à l’acte.
A son initiative, le 1er festival Kayes Kan Fouga a été organisé. Ce festival de promotion de la paix a suggéré la mise en place dun Pacte de cohabitation pacifique et de non belligérance entre les ethnies vivant sur le sol malien.
Ce Pacte, faut-il le rappeler, a pour objectif de retrouver la paix et la stabilité indispensables pour que le Mali connaisse l’essor économique qu’il mérite, mettre en valeur ses précieuses richesses et les énormes potentialités dont regorgent toutes les régions au profit de tous ses enfants, permettre à notre pays de retrouver sa place dans le concert des nations.
C’est pourquoi dans son message du nouvel an 2023, il a appelé les légitimités traditionnelles, les leaders religieux, les élus locaux, les jeunes et les femmes à sceller ce Pacte de stabilité.
Sans se lasser, durant toute l’année 2023, le président de la Fondation Maliba a profité de toutes les dates importantes pour renouveler son appel à l’endroit des Maliens, notamment les autorités de Transition et l’ensemble des composantes de la nation afin de sceller un Pacte pacifique de stabilité pour la paix et un développement durable pour notre pays.
Il la réitéré lors de la fête de l’armée le 20 janvier, lors de la Journée internationale des femmes le 8 mars, lors de l’anniversaire de l’indépendance du Mali le 22 septembre.
Encore en 2024, précisément à l’occasion du 20 janvier, fête de l’armée, Aliou Boubacar Diallo a répété son appel d’aller vers un pacte de stabilité du pays.
Dans son message aux Maliens lors de cet événement, il avait dit ceci : « Parce qu’un pays ne peut pas rester tout le temps en guerre, il est plus que jamais temps de préparer la PAIX et la réconciliation entre tous les enfants du Maliba.
Ces résultats louables doivent être consolidés par un effort de dialogue et de réconciliation de tous les fils du Mali à travers un Pacte de stabilité.
Ce PACTE DE STABILITE, je l’ai déjà appelé de tous mes voeux depuis les 1er et 20 janvier 2023 en m’adressant directement au peuple malien tout entier : légitimités traditionnelles, leaders religieux, femmes et hommes, anciens et jeunes, acteurs politiques, maliens de la diaspora, toutes ethnies confondues… »