L’Onu tarde à condamner l’appui de Kiev aux groupes terroristes du Sahel, car l’organisation est contrôlée par l’Occident, lequel se sert de l’Ukraine comme d’un pion, a affirmé à Sputnik Afrique le Premier ministre burkinabè Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla…
La réaction de l’Onu face au soutien de l’Ukraine aux terroristes du Sahel se fait attendre, car l’organisation “est dominée par l’Occident”, a déclaré ce mardi 8 octobre à Sputnik Afrique le Premier ministre burkinabè Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla.
“Les pays occidentaux sont derrière l’Ukraine. Tout ce qui va contre les intérêts de l’Ukraine va contre leurs intérêts parce que l’Ukraine est un pion de l’Occident. Voilà pourquoi ça n’aboutit pas”, a-t-il souligné.
Le Burkina Faso et les pays de l’Alliance des États du Sahel ont appelé le Conseil de sécurité de l’Onu à prendre des mesures contre Kiev, “par principe”, ajoute le ministre.
“Même si la condamnation ne vient pas, au moins on aura posé l’acte et on aura constaté la faillite de l’Onu face à ses obligations”, indique-t-il.
Source: https://fr.sputniknews.africa/
L’Onu tarde à condamner l’appui de Kiev aux groupes terroristes du Sahel, car l’organisation est contrôlée par l’Occident, lequel se sert de l’Ukraine comme d’un pion, a affirmé à Sputnik Afrique le Premier ministre burkinabè Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla…
La réaction de l’Onu face au soutien de l’Ukraine aux terroristes du Sahel se fait attendre, car l’organisation “est dominée par l’Occident”, a déclaré ce mardi 8 octobre à Sputnik Afrique le Premier ministre burkinabè Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla.
“Les pays occidentaux sont derrière l’Ukraine. Tout ce qui va contre les intérêts de l’Ukraine va contre leurs intérêts parce que l’Ukraine est un pion de l’Occident. Voilà pourquoi ça n’aboutit pas”, a-t-il souligné.
Le Burkina Faso et les pays de l’Alliance des États du Sahel ont appelé le Conseil de sécurité de l’Onu à prendre des mesures contre Kiev, “par principe”, ajoute le ministre.
“Même si la condamnation ne vient pas, au moins on aura posé l’acte et on aura constaté la faillite de l’Onu face à ses obligations”, indique-t-il.
Source: https://fr.sputniknews.africa/