Les victoires de l’armée malienne sonneront comme un gong dans les oreilles des ennemis de notre pays. Chaque fois qu’elle engrange des succès au front, on l’accuse de violation des droits de l’homme pour saboter ses actions. Cette vieille chanson ne passera pas. Nous sommes déjà habitués à cette désinformation menée à tambour battant sur les médias français de la haine, de la division pour discréditer notre vaillante armée…
Depuis le départ des complices de la tragédie de notre peuple en 2023, le gouvernement français a mis tous les moyens en œuvre pour discréditer le peuple malien à travers les militaires au pouvoir et notre armée. Ils sont devenus des ennemis à abattre à tout prix. Comme d’habitude, il met ses médias de la haine, de la division à contribution. Des médias, on le sait, se sont spécialisés dans la désinformation, l’intoxication en foulant au pied le principe sacro-saint du journalisme: l’éthique et la déontologie. Cette campagne médiatique, malheureusement, est menée contre le Mali avec la complicité de certains de ses enfants tapis dans l’ombre de leurs rédactions.
Depuis quelques jours, la presse de l’Hexagone se fait le porte- parole des organisations de défense des droits de l’homme. Elle accuse l’armée malienne d’une prétendue violation des droits de l’homme. Elle organise des débats avec des invités se disant spécialistes du Mali, tend le micro à des ennemis du Mali, dans le seul dessein de nuire à la réputation de l’armée malienne, décidée à endiguer le terrorisme et le djihadisme, les armes de guerre entre les mains de l’Occident pour déstabiliser les pays dans lesquels il intervient pour piller leurs ressources minières. Elle se sert d’une vidéo sur les réseaux sociaux pour accuser les soldats d’une prétendue violation de droit de l’homme. Dans cette vidéo, on voit des hommes, habillés en tenue de l’armée malienne, vidés un homme de ses organes.
Cette cruauté n’est pas le propre d’un Malien. Surtout de la part des militaires qui sont en train de nettoyer les coins et recoins du Mali pour débarrasser notre pays des supplétifs des armées impérialistes. À un bout de doigt de cette victoire finale, notre armée ne va jamais se rendre coupable d’une violation de l’homme. D’ailleurs, elle n’a jamais violé les droits de l’homme depuis le début en 2012 de cette crise. Et cela, malgré les faux rapports produits pour incriminer nos soldats. On se souvient de celui de Moura, où il était question de massacre de Peuls. Pour enfoncer notre armée, les médias de la haine ont donné la parole à des gens qui ne parlaient même la langue peule du Mali. D’autres témoignages, montés de toutes pièces, relevaient la face cachée des mensonges contre notre vaillante armée.
Nous sommes habitués à cette chanson. L’armée française est toujours passée par ces méthodes pour accuser et opérer des changements de régime en Afrique. Le cas le plus édifiant est celui de Jean Bedèl Bokassa de la Centrafrique. Les médias de la haine ont pris le relais des discours politiques pour l’accuser de manger de la chair humaine (cannibalisme). Et le mensonge a réussi avec la complicité d’un de ses serviteurs. Toujours un traite de maison ! Cela ne passera pas chez nous. Le peuple est dernière son armée qui engrange des succès éclatants au front.
Dans cette accusation, sortie du néant, l’armée malienne est clean. Elle ne se reproche rien. Le moral, sur lequel ils voulaient saper, reste au beau fixe. Et l’état- major de l’armée n’a pas tardé à démentir et rejeter en bloc les accusations fallacieuses des médias français contre nos militaires. Elle reste doit dans ses bottes pour traquer les terroristes et djihadistes qui vont devenir dans quelques années une bombe entre les mains des créateurs de ces deux montres, lancés contre des régimes qui souhaitent prendre leur destin en mains.
N’en déplaise à eux et à leurs valets tropicalisés. Les victoires de l’armée malienne sonneront comme un gong dans les oreilles des ennemis de notre pays. Une fois de plus, les médias de la haine, de la division et de la déstabilisation français ont échoué dans leur diabolisation contre notre armée.
Yoro SOW
Source : Inter de Bamako