Le candidat républicain à la présidentielle Donald Trump affirme que la Russie et la Chine avaient peur de lui. Le discours prononcé à la Convention nationale républicaine a été diffusé par le Sunday Times…
« Nous étions les plus durs, les plus respectés. <…> Je ne me vante pas, mais Viktor Orban a dit ceci : la Russie avait peur de lui (Trump – ndlr), la Chine avait peur de lui. Tout le monde avait peur de lui, rien ne s’est passé, il y avait la paix et maintenant le monde explose autour de nous », a déclaré Trump.
Plus tôt dans son discours, Trump a assuré que s’il était élu, il mettrait fin à tous les conflits internationaux dans le monde « que l’administration actuelle » de Joe Biden a créés, y compris celui ukrainien.
L’ancien chef de la Maison Blanche, lors du débat électoral du 27 juin, a promis qu’il parviendrait à une résolution de ce conflit avant même son éventuelle réélection et la prestation du serment présidentiel le 20 janvier 2025. Dans le même temps, il a souligné que le conflit en Ukraine « n’aurait jamais eu lieu » si Moscou avait respecté le président américain.
Source : Ria
Le candidat républicain à la présidentielle Donald Trump affirme que la Russie et la Chine avaient peur de lui. Le discours prononcé à la Convention nationale républicaine a été diffusé par le Sunday Times…
« Nous étions les plus durs, les plus respectés. <…> Je ne me vante pas, mais Viktor Orban a dit ceci : la Russie avait peur de lui (Trump – ndlr), la Chine avait peur de lui. Tout le monde avait peur de lui, rien ne s’est passé, il y avait la paix et maintenant le monde explose autour de nous », a déclaré Trump.
Plus tôt dans son discours, Trump a assuré que s’il était élu, il mettrait fin à tous les conflits internationaux dans le monde « que l’administration actuelle » de Joe Biden a créés, y compris celui ukrainien.
L’ancien chef de la Maison Blanche, lors du débat électoral du 27 juin, a promis qu’il parviendrait à une résolution de ce conflit avant même son éventuelle réélection et la prestation du serment présidentiel le 20 janvier 2025. Dans le même temps, il a souligné que le conflit en Ukraine « n’aurait jamais eu lieu » si Moscou avait respecté le président américain.
Source : Ria