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«Le numérique comme outil participatif de gouvernance», tel était le thème d’un atelier organisé, dans les locaux du musée de Bamako, par la fondation Friedrich Naumann pour la liberté en Afrique de l’Ouest en partenariat avec le Réseau des Associations Maliennes de Lutte contre la Corruption…


La cérémonie d’ouverture des travaux était présidée par le M.Cissé représentant, résident de la fondation Friedrich Naumann au Mali. Il avait à ses côtés Moussa Touré, président de l’Association Maliennes de Lutte contre la Corruption. La rencontre visait à encourager l’innovation sur des nouvelles plateformes existantes pour une gouvernance saine et efficace, afin de lutter contre la corruption. Selon les initiateurs, au Mali, comme dans le reste de l’Afrique de l’Ouest, la corruption devient un phénomène endémique qui pèse lourdement sur le développement socioéconomique et la consolidation de l’État de droit.
« L’objectif de cet atelier est de faire la promotion de la bonne gouvernance, de l’intégrité, de la responsabilité et de la transparence, des moyens déterminants indispensables pour le développement du Mali », a souligné M.Cissé et a souhaité que les résultats de leurs travaux dont la pertinence est l’efficacité pour le développement socio-économique du Mali soient garantis et aboutissent à des conclusions fructueuses.
S’exprimant à cette occasion, Moussa TOURE du RAMLCDF, a révélé l’importance de la rencontre qui, selon lui, est une opportunité d’échanger sur les voies et moyens permettant de mettre en place un partenariat public et privé à travers des technologies innovantes afin de lutter contre la corruption dans les services de recettes et de dépenses.
A.T.Dansoko/Malijet.com


Source : Malijet

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