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La société n’a pas l’intention d’acquérir des actifs d’Orano, a déclaré son service de presse aux médias russes. Rosatom a également qualifié l’article de Bloomberg évoquant ses contrats avec les militaires au pouvoir de « ten…

L’entreprise française Orano travaille au Niger depuis plus de 50 ans, où elle exploite des gisements dans le nord-ouest du pays. Elle possède des blocs de contrôle des opérateurs de mines Somair et Cominak, ainsi que du projet Imouraren, suspendu depuis 2015.

Selon Bloomberg, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) était au courant d’un potentiel transfert d’actifs uranifères au Niger. Mais Orano a répondu au média ne pas avoir connaissance de quelque discussion que ce soit entre Niamey et des entités russes. La société dit continuer à dialoguer avec les nouveaux dirigeants du Niger, au pouvoir depuis juillet 2023.

En 2022, ce pays assurait près de 4% de la production mondiale d’uranium, d’après l’Association nucléaire mondiale. Le Niger extrait près de 15% de l’uranium utilisé dans l’énergie nucléaire française, précisait Le Monde.

Source : Sputnik

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