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Aujourd’hui le monde s’interroge de l’allure que prend le quotidien malien en cette période de transition où tout se fait, tout se dit. Au nombre des sujets d’inquiétudes, le rejet constaté des pièces de monnaies de (250 FCFA et 500 FCFA) au cœur des divergences entre acheteurs et vendeurs…


Qui a officialisé cette mesure qui met les concitoyens aux prises ? Pourquoi et que faire face à ce système de laisser aller, laisser faire ?

Depuis le tout dernier  coup d’état qui oppose le Mali aux institutions sous régionale et internationales, les interprétations et conceptions ont donné naissance à des réquisitoires, des mesures dont les sources restent inconnues, voire imaginées et orchestrées de toute part.
A l’instar d’autres réalités aberrantes, l’usage des pièces de 250 FCFA et de 500 FCFA, paie de nos jours les frais d’une polémique monétaire sur le marché des échanges entre les acheteurs et certains vendeurs qui refusent d’accepter ces deux pièces.

Avec certains boutiquiers, transporteurs et vendeurs des billets de loterie, ces pièces font l’objet de tiraillement entre certains commerçants et les usagers, une réalité qui étonne plus d’un surtout quand on sait que ces pièces sont utilisées dans les banques pour des monnaies d’échanges.

Devant ce mode de vie qui dément toute expression de sacrifice patriotique du bout des lèvres, s’il est vrai que le nom d’une personne révèle la grandeur de son identité, il faudrait que l’identité du MALIBA se révèle dans le concret et non dans les mots qui n’expriment vraiment pas ce qui est réel et visible du quotidien des maliens.

De l’état actuel de la nation, au lendemain souhaité, le « Grand Mali » compte sur la synergie et le sacrifice sincère de tous ses enfants et à tous les niveaux pour un Peuple, un But, une Foi dans l’honneur et la dignité.

Jean S. Soumah 

ÉchosMédias

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