Depuis un certain temps cette institution de renommée internationale est confrontée à un feuilleton judiciaire.
Jadis l’espace utilisé comme champ d’expérimentation par les étudiants et leurs encadreurs est de nos jours par certaines personnes. Singulièrement une famille Traoré qui est l’origine de tous conflits.
Elle est parvenue à instrumentaliser une partie de la population locale et une partie de la presse malienne. Sans un traitement équilibré de l’information la direction générale de L’IPR/IFRA fait l’objet d’un lynchage médiatique.
Il est temps que le professionnalisme prime dans le monde de la presse.
Pour rappel, cette institution a eu à formé des milliers de cadres de plusieurs nationalités dont beaucoup de nos concitoyens qui ont vaillamment servis notre pays.
Les grandes réformes agraires majeures sont les œuvres des purs fruits de cette grande école.
Il est bon de retenir que l’IPR détient ses quatre Titres Fonciers (TF) inscrits au livre foncier du cercle de Bamako le 13 juin 1935, donc avant l’indépendance de notre pays.
Est-il possible d’y appliquer le droit coutumier ?
Les choses ont beaucoup évolué ces derniers temps et une réorganisation s’impose pour le bien-être du système éducatif malien.
C’est ainsi que les dirigeants du pays ont engagé un vaste projet d’aménagement et d’innovation avec des amphithéâtres aux normes standards et mieux outiller les apprenants.
Au delà l’IPR/ISFRA regorge plusieurs projets de recherche qui font aujourd’hui la fierté du Mali pour assurer une indépendance alimentaire et ouvrir la voie à la sécurité alimentaire.
Face à ces nombreux défis l’Etat doit prendre toutes ses responsabilités pour traduire ces spéculateurs fonciers ,les complices et ceux qui veulent une trouble sociale devant la justice.
Force doit rester à la loi.
A. Traoré
ÉchosMédias